17 juin 2009
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15:30
Or quand la maîtresse arriva à la direction ,le directeur n'y était pas .Il était encore au lit ;parce que cela lui arrivait souvent de se réveiller tard.Donc, l'enseignante rebroussa chemin vers sa classe.
A l'intérieur de celle-ci, cela grouillait comme une fourmilière :on criait, on hurlait, on appelait à l'aide, on riait, on chantait, on se battait....Bref, le tremblement d'Agadir était une rigolade devant ce tohu-bohu.
En moins de temps qu'il n'en faut à un kangourou pour mettre K.O un boxeur de renommée , tout était devenu O.K .Aussitôt, chacun reprit sa place après avoir essuyé ses larmes, réchaussé ses sandales et ramassé ses affaires éparpillées partout .
Une place demeura vacante:celle de Abbas !
On ne s'était même pas rendu compte que le lascar et son père avaient pris la poudre d'éscampette.
Abbas dût revenir de nouveau à l'école ;mais,après un mois d'absence .En réalité, il n'avait pas fait d'école buissonnière durant ces trente jours .Le pauvre, il les a passés tout simplement à l'hôpital..
Vous ne pouvez imaginer ce que le morveux a reçu es coups de bâton, de pied et même une dizaine de coups de tête !
Cette formidable rossée lui a été administrée par son père , aidé par le cousin des voisins de son oncle .
Quand on a conduit le jeune blessé aux urgences , les infirmiers ne savaient que faire .Heureusement que le médecin responsable passait justement par là , sinon c'en était fini pour le cinglé .
Après plusieurs examens à l'oeil, palpements des mains et coups de marteau sur les côtes , le toubib donna l'ordre aux infirmiers de panser Abbas de la tête jusqu'aux orteils .Une heure plus, il était plus vivant que la momie de Ramsès.
A l'intérieur de celle-ci, cela grouillait comme une fourmilière :on criait, on hurlait, on appelait à l'aide, on riait, on chantait, on se battait....Bref, le tremblement d'Agadir était une rigolade devant ce tohu-bohu.
En moins de temps qu'il n'en faut à un kangourou pour mettre K.O un boxeur de renommée , tout était devenu O.K .Aussitôt, chacun reprit sa place après avoir essuyé ses larmes, réchaussé ses sandales et ramassé ses affaires éparpillées partout .
Une place demeura vacante:celle de Abbas !
On ne s'était même pas rendu compte que le lascar et son père avaient pris la poudre d'éscampette.
Abbas dût revenir de nouveau à l'école ;mais,après un mois d'absence .En réalité, il n'avait pas fait d'école buissonnière durant ces trente jours .Le pauvre, il les a passés tout simplement à l'hôpital..
Vous ne pouvez imaginer ce que le morveux a reçu es coups de bâton, de pied et même une dizaine de coups de tête !
Cette formidable rossée lui a été administrée par son père , aidé par le cousin des voisins de son oncle .
Quand on a conduit le jeune blessé aux urgences , les infirmiers ne savaient que faire .Heureusement que le médecin responsable passait justement par là , sinon c'en était fini pour le cinglé .
Après plusieurs examens à l'oeil, palpements des mains et coups de marteau sur les côtes , le toubib donna l'ordre aux infirmiers de panser Abbas de la tête jusqu'aux orteils .Une heure plus, il était plus vivant que la momie de Ramsès.
A suivre.......